Référence FP18
OBJET ET ENJEUX
La signature d’un système est une manière de caractériser la fiabilité de ce système. Elle permet de comparer les performances de fiabilité de deux systèmes (et donc plus). Elle est manifestement utile en phase de conception, ou en phase de diagnostic pour une prolongation d’exploitation et une maintenance prévisionnelle.
Ce concept date de 1985 et a été introduit par Francisco Samoniego pour des systèmes cohérents avec des composants non réparables iid (indépendants et distribués identiquement ; on est en présence de variables aléatoires qui suivent toutes la même loi de probabilité et qui sont indépendantes). L’état d’un système cohérent dépend de l’état des composants du système.
Le concept a été généralisé par Samoniego en 2007 à des composants non iid : composants échangeables, dépendants, vieillissant, …
Il semble qu’il y ait peu d’applications industrielles de ce concept en Europe, où les conférences et les présentations sont universitaires.
On peut trouver cependant de rares applications dans d’autres références, bien sûr, aux Etats-Unis, mais aussi dans les pays comme l’Algérie, l’Iran et la Turquie.
Il semblerait que le concept soit utilisé à des fins de comparaison (comparaison de performances de systèmes, de fiabilité, d’architecture, comparaison de management technico-économique des risques, mise en évidence de facteurs d’importance, allocations, diagnostic, études de durabilité). Des applications sont citées dans les télécommunications (fiabilité de systèmes électroniques), dans le secteur pétrolier (transport de fluide par pipeline), dans le secteur nucléaire (études de sûreté).
L’objectif de ce projet est :
RÉSULTATS ATTENDUS
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